DOKKER, ce malabar au coeur tendre

par Jean Coulon | le 28 avril 2014

Dokker2

Alors que l’usine marocaine de Renault à Tanger vient de produire son 200 000ème véhicule, un DOKKER, l’heure est venue pour nous de revenir sur ce véhicule qui a su rencontrer son public.

ENJEUX

Lorsque Renault décide de commercialiser, sous marque Dacia, un nouveau combispace économique et utilitaire, pensé aussi pour un usage familial que professionnel, les équipes créatives de Nomen ont immédiatement été sur le pied de guerre, impatients de se frotter à ce nouveau brief aux enjeux internationaux.

Dérivé du monospace Lodgy, le dernier né de la marque roumaine voulait en conserver l’identité stylistique tout en l’adaptant aux codes du segment.

ANATOMIE D’UN NOM

Après de nombreux brainstormings, workshops -et autres séances de travail aux noms anglais dignes de cours du Club Med Gym– en étroite collaboration avec les équipes Renault, le nom DOKKER a émergé.

Cette appellation a été pensée à partir du substantif anglais docker qui désigne un « ouvrier portuaire » et qui permet d’évoquer la praticité et la grande capacité de chargement du véhicule.

smiling dockers

Ce recours à une personnification engendre également une connivence, une véritable proximité avec le modèle qui s’impose alors comme un partenaire du quotidien au sens large, un ami de la famille toujours prêt à prêter main forte que ce soit la semaine ou le week-end.

La graphie du nom, empreinte de robustesse avec, en prime, une touche plus ludique, se veut le reflet de ce véhicule, à la fois outil de travail et compagnon de loisirs.

Enfin, soulignons la filiation ténue que ce nom entretien avec le modèle Lodgy grâce à sa personnalité anglo-saxonne qui entre en résonance avec la langue française et la reprise de la lettre –o en deuxième position.